L’ADN contient toute l’information génétique, appelée génome, permettant le développement, le fonctionnement et la reproduction des êtres vivants.
Si l’on mettait bout à bout l’ADN contenu dans les chromosomes des noyaux des 50 000 milliards de cellules qui constituent notre corps, cela représenterait plus de 130 fois la distance Terre-Soleil…..
Dès les origines, choix de l’ADN comme support de l’information génétique ne fut pas le fait du hasard, car cette molécule défie le temps et se promène dans l’espace !
Il a été démontré que des séquences d’ADN bactérien, sont capables d’émettre des d’ondes électromagnétiques de basse fréquence, susceptibles d’organiser des nucléotides (le matériel de base de l’ADN) en un nouvel ADN bactérien, par la médiation de structures dans l’eau.
L’ADN porterait partout une copie de soi comprenant intégralement le projet originel, alors que le mécanisme de répétition serait conçu par le champ électromagnétique biophotonique.
Les chromosomes opéreraient comme un émetteur de rayonnement laser fonctionnant avec des biophotons cohérents. Les biophotons seraient responsables du déclenchement de réactions biochimiques entre les cellules.
Selon Rupert Sheldrake, l’influence du passé sur le présent, au-delà de l’espace et du temps, semble n’être possible que par une « résonance morphique » qui n’implique pas un transfert d’énergie, mais de l’information.
PhJC décembre 2022
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